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Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/699

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climats sur les habitudes morales, 161. — Réflexions sur cette question, 170. — Ce qu’on doit entendre par habitudes morales, 173. — Changemens notables que produisent dans le moral les phtisies, 230. — De l’influence du moral sur le physique, 484. — Lee opérations, dont l’ensemble porte le nom de moral, se rapportent à celles qu’on désigne par celui de physique, 488. — La différence des opérations ne prouve pas celle de leurs causes, ibid. — La grande influence de ce qu’on appelle le moral sur ce qu’on appelle le physique, est prouvée par des exemples sans nombre, 493. — Preuves que, suivant l’état de l’esprit, suivant les idées, les affections morales, l’action des organes peut tour-à-tour être excitée, suspendue, et même intervertie, 494. — Pourquoi et comment, d’après les fonctions du cerveau, on ne doit plus être embarrassé pour déterminer le véritable sens de cette expression : influence du moral sur le physique, 522.

Morale (la). État des sciences morales avant Locke, I, préface, xiij. — Sur la sympathie morale, ibid. xix. — Sur la base des sciences morales, ibid. xxij. — Points fixes d’où l’on doit partir, dans toutes les recherches qu’elles peuvent avoir pour but, ibid. xxiij. — Sur les idées relatives à la morale publique, ibid. xxx. — Les biens les plus précieux de la vie ne s’obtiennent que par sa pratique, ibid. xxxj. — Combien elle est une partie essentielle des besoins de l’homme, ibid. xxxij. — Morale privée ; ses principes, ibid. xxxiij. — La physique de l’homme fournit les bases non-seulement de la philosophie rationnelle, mais encore de la morale, I, 71. — Preuves que les déterminations morales ne dépendent pas uniquement de ce qu’on nomme les sensations, 105 et suiv. — De l’influence des âges sur les affections morales, 234. — De l’influence des sexes sur le caractère des affections morales, 310. — De l’influence des tempéramens sur la formation des idées et sur les affections morales, 398. — De l’influence des maladies sur la formation des idées et des affections morales, 492. — Comment se forment les affections morales, 501. — De l’influence du régime sur les dispositions et les habitudes morales, II, 1. — Les deux grandes modifications de l’existence humaine, celle physique et celle morale, se touchent et se confondent par une foule de points correspondans, 2. — Utilité qui résulte de ces considérations, 3.

Moraliste (le). L’étude de l’homme physique est également