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Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/704

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impression de plaisir que partagent les organes génitaux, I, 384, note. — Les médecins grecs reconnaissaient l’avantage, dans la consomption, de faire têter les malades par une nourrice jeune et saine, II, 420. — Un jeune Bolonais fut retiré de l’état de marasme, en passant les jours et les nuits auprès d’une nourrice de vingt ans, 421.

Nourriture. Sur celle de l’homme, et sur celle des animaux, I, 243, 254.

Nutrition. Ce qu’il faut pour qu’elle s’opère, II, 504.

Nymphomanie. Effets qu’elle produit sur les affections morales de la fille, I, 500.

O

Objets. Sous quelque point de vue qu’on considère les objets, ou est sûr d’avance d’y trouver des rapports ; quels ils sont, I, 404. — Quels sont les plus importans à observer, 405. — Sur les objets qui sont habituellement sous nos yeux, il faut interroger la nature et non les livres, 408.

Observation. C’est elle uniquement qui peut faire reconnoître et déterminer le degré de sensibilité relative des organes, II, 509.

Odeurs. Effets des odeurs, et comment elles agissent, I, 224. — Sur certaines personnes qui sont insensibles aux odeurs, 526. — Odeur particulière que chaque espèce, et même chaque individu répand, II, 418. — Sur celles que répandent les animaux jeunes et vigoureux, 419. — Exemples qui prouvent combien il peut être utile, pour des vieillards languissans et des malades épuisés par les plaisirs de l’amour, de vivre dans une atmosphère remplie des émanations restaurantes qu’exhalent des corps jeunes et pleins de vigueur, 420.

Odorat. Des rapports intimes et multipliés unissent le goût et l’odorat, I, 223. — L’odorat paroît avoir des rapports encore plus étendus avec les organes de la génération, ibid. — Pourquoi l’odorat a peu de mémoire, 225. — Sur certaines personnes insensibles aux odeurs, II, 35. — Preuves de l’union des organes du goût et de l’odorat, 380. — Rapports qu’ont entr’eux l’odorat et les intestins, 385. — L’odorat est le principal organe de l’instinct chez les animaux, dont les yeux et les oreilles ne s’appliquent pas à beaucoup d’objets divers ; il est aussi celui de la sympathie, 417. — Il est aussi celui des déterminations instinctives qui tiennent à l’antipathie, ou qui en dépendent, 421.