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Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/706

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de l’organe sensitif sur lui-même pour produire le sentiment, et sur les autres parties pour produire le mouvement, 147. — Cette réaction ne s’exécute pas dans une étendue toujours la même de l’organe sensitif ou du cerveau, 148. — Communication sympathique des affections d’un organe à l’autre ; exemples à ce sujet, 178. — Fait général qui prouve que les transitions de ces affections dépendent évidemment de déterminations conçues dans le sein même du système nerveux, 179. — Nos organes doivent avoir certaines proportions déterminées, être doués d’une certaine force, et exercer une certaine somme d’action, 438. — Les inégalités d’énergie ou d’aptitude aux diverses fonctions, peuvent se rencontrer dans le même système d’organes, comme dans des systèmes ou des organes différens ; exemple, 477. — L’état des organes peut être considérablement modifié par les maladies, 553. — Modifications que les corps organisés peuvent subir, II, 6. — Ils peuvent contracter des habitudes. 7. — L’art a su trouver les moyens de fixer ces modifications accidentelles et factices, et comment, ibid. — Ce que les organes acquièrent par l’effet avantageux ou nuisible du régime, 13. — Tous ceux, dont le sommeil fait cesser l’action, ne s’endorment pas à-la-fois, 133. — La plupart de nos penchans tiennent au développement de certains organes, 266, 397. — La ressemblance ou l’analogie des matières, fait tendre particulièrement les organes les uns vers les autres, et quels en sont les résultats, 401. — Application de ces résultats aux matières vivantes, 402. — Les organes ne sont susceptibles d’entrer en action, qu’autant qu’ils sont doués de vie ou sensibles, 489. — Ils partagent les affections les uns des autres, 491. — Preuves que suivent l’état de l’esprit, suivant la différente nature des idées et des affections morales, l’action des organes peut tour-à-tour être excitée, suspendue ou intervertie, 494. — En quoi diffèrent de tous les autres, les organes de la pensée et de la volonté, 498. — Action et réaction, les uns sur les autres, de tous les organes, 503. — D’où dépend le genre d’influence qu’exerce sur toutes les parties un organe majeur et prédominant, 509. — Le degré de sensibilité relative des organes ne peut pas toujours être déterminé par l’anatomie ; c’est uniquement par l’observation, 509. — La grande influence de certains organes sur d’autres, n’est pas uniquement due au degré de leur sensibilité ; l’important de leurs fonctions y contribue pour une grande part, comme