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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/111

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  1. De la Toussaint à la fin de l’Avent,
    Jamais trop de pluie ou de vent.
  2. Tout passe,
    Tout casse,
    Tout lasse.
  3. La rouille use plus que le travail.
  4. Le travail vient à bout de tout.
  5. La montagne en travail enfante une souris.
  6. Travaillez, prenez de la peine,
    C’est le fond qui manque le moins.
  7. Qui travaille, prie.
  8. Les trésoriers sont les éponges des rois.
  9. Tel tribunal, telle déposition.
  10. La tricherie (déloyauté) retourne à son maître.
  11. Il ne faut jamais s’étonner, qu’on ne voie ses tripes dans son giron.
  12. À la trogne,
    On connaît l’ivrogne.
  13. Il n’y a que ceux qui ne font rien,
    Qui ne se trompent point.
  14. Le vrai moyen d’être trompé,
    C’est de se croire plus fin que les autres.
  15. Qui trompe aux épingles, trompera aux écus.
  16. C’est un double plaisir, de tromper le trompeur.
  17. À trompeur, trompeur et demi.
  18. Le trop d’expédients peut gâter une affaire.
  19. Qui prouve trop, ne prouve rien.