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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/126

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  1. La langue est sans os, on la tourne comme on veut.
  2. Le limaçon vient, quand arrivera-t-il ?
  3. Louange, pour un sot,
    Vaut mieux que cadeau.
  4. Apprivoise le loup, il rêvera toujours au bois.
  5. On ne bat pas le loup parce qu’il est gris,
    Mais parce qu’il a mangé la brebis.
  6. Cheval sur ses gardes ne sera pas mangé du loup.
  7. Malheur aux brebis quand le loup est leur gardien.
  8. Loup affamé brise le loquet.
M
  1. Mains blanches aiment le travail d’autrui.
  2. Une main perd l’autre, un pied fait lever l’autre.
  3. Le malheur est voisin de la sottise.
  4. Tel donne à manger avec le cuilleron, qui crève les yeux avec la spatule.
  5. Mange ou ne mange pas,
    On te le comptera pour un repas.
  6. Le maréchal forge des pinces pour ne pas se brûler.
  7. La vieillesse est plus sage que la jeunesse,
    Mais le matin est plus sage que le soir.
  8. Un grand merci ne se met pas en poche.
  9. Mesure dix fois, mais ne coupe qu’une.