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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/178

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  1. Je suis aux ordres de qui m’estime ; et qui me méprise, je me mets au-dessus de lui.
  2. Un épervier ne vit pas, s’il n’a de la viande.
  3. Quand l’épine est sale, ne l’approche pas.
  4. Si l’étoffe est là, l’aune est ici.
  5. Qui entre dans l’étuve, sortira en sueur.
  6. Trop de façons
    Gâte affection.
  7. La face du mendiant est poudreuse, mais souvent sa besace est pleine.
  8. Il a pu faillir, mais je dois lui pardonner.
  9. Qui s’éloigne de la feinte, s’approche de Dieu.
  10. C’est la femelle qui fait le nid.
  11. Souvent on se jette dans le feu pour éviter la fumée.
  12. Où le feu tombe, le feu prend.
  13. Prends l’étoffe d’après la lisière,
    Et la fille d’après la mère.
  14. Si la mère ne se montre pas, la fille ne prépare pas la table.
  15. Le flambeau n’éclaire pas son pied.
  16. L’aigle a été percé avec la flèche faite de sa plume.
  17. Le capital du forgeron
    Doit être en charbon.
  18. Ne lutte pas contre plus fort que toi.
  19. Un jour au bout de l’autre, amène la force.
  20. Pour un sage, on trouve deux fous.