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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/324

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  1. Wo man den Esel Krœnt,
    Da ist Stadt und Land gehœhnt
    .
    Couronnement de l’âne, honte pour le village.
  2. So lang der Esel trægt, ist er dem Müller lieb.
    Tant que l’âne peut porter, il est cher au meunier.
  3. Wer sich zum Esel macht, auf dem will jedermann reiten.
    Qui se fait ânon,
    Chacun y saute à califourchon
    .
  4. Man kann einem Esel wohl den Schwanz verbergen,
    Aber die Ohren lasst er vorgucken
    .
    Vous avez beau cacher la queue d’un âne, il montrera toujours ses oreilles.
  5. Es ist besser den Esel treiben
    Als selbst Sack tragen
    .
    Mieux vaut conduire un âne, que de porter soi-même la charge.
  6. Ein einziges stinkendes Ey verderbt die ganza Pastete.
    Un seul œuf gâté gâte toute la pâtisserie.
  7. Wenn Gott die Eyer zerbrechen will, so setzt er Narren darüber.
    Quand Dieu veut que les œufs se cassent, il les confie à un sot.
  8. Aus gebratenen Eyern
    Kommen keine Hühner
    .
    Les œufs au gratin
    Ne donnent pas de poussins
    .