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Page:Cantel - Amours et priapées, 1869.djvu/76

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AMOURS ET PRIAPÉES


Jamais, dit-on, l’amour n’ose approcher son âme,
Et chacun se demande : Est-elle vierge ou femme ?
Tant son indifférence effarouche l’espoir !

Sous ce sein délicat veille un ardent supplice :
Savez-vous ce qu’elle aime ? Un taureau blanc et noir,
Qu’elle a vu dans les prés saillir une génisse.