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Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/406

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Dormir est un temps perdu (voyez je suis né pour le plaisir).
Dors, mon enfans, clos ta paupière 
 154
Du bon roi Dagobert 
 209
Du haut en bas 
 155
Du partage de la richesse 
 157
Du rivage de Vaucluse 
 158
Du serin qui te fait envie 
 156
Du temple heureux de Cythère 
 159
Du Vaudeville, afficheur ordinaire, ou je suis Carmélite, moi 
 160
D’un bouquet de romarin, ou je vis Lise hier au soir 
 161
D’un époux chéri, la tendresse 
 208
D’un époux il faudra tenir (voyez vaudeville d’Abuzard).
D’un mensonge très-innocent 
 166
D’un’ meûnièr’ qui fait trop la fière (voyez air de la romance de la queue du diable).
D’une abeille toujours chérie 
 162
D’une amante abandonnée (voyez que ne suis-je la fougère).

E.

Écoutez la prière d’un jeune voyageur 
 165
Écoutez l’aventure d’un pauvre villageois 
 166
Eh ! bon, bon, bon, que le vin est bon (voyez un chanoine de l’Auxerrois).
Eh ! gai, gai, gai, mon officier, ou chantons, buvons, ce n’est qu’ici 
 167
Eh ! lon, lan, la, landerirette (voyez air de Landerirette).