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Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/408

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En revenant d’Auvergna, ou soir et matin je chante 
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En revenant de Bâle en Suisse 
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En revenant de Nivelle (voyez passez votre chemin, beau sire).
En scène je suis un héros (voyez vaudeville de Lasthénie).
Enfans de la Provence (voyez air de la ronde d’Aline).
Enfin, v’là donc qu’est bacle (voyez reçois dans ton galetas).
Enseignez-moi qui l’a (voyez air de la béquille du père Barnabas).
Époux imprudent, fils rebelle 
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Époux volage, ta Sophie 
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Es-tu bien sensible, toi (voyez air de l’enfantine).
Escouta, Jeanetto 
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Et c’est toujours la même chose (voyez ce jeune homme depuis deux ans).
Et l’on peut bien pardonner dans la vie 
 184
Et non, non, non, ce n’est pas là Ninette (voyez eh zon, zon, zon, Lisette, ma Lisette).
Et r’lan tan plan, tambour battant 
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Et toujours va qui chante (voyez air du pas redoublé).
Et voilà la vie, la vie suivie (voyez ah ! voilà la vie).
Et voilà comme l’homme n’est jamais content 
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(Voyez le vaudeville de Christophe Dubois, dont le refrain est le même que celui-ci.)
Et zig, et zig, et zig, et zog 
 185
Êtes-vous de Chantilly ? 
 188
Existe-t-il sur la terre ? 
 189