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Page:Carco - Au vent crispé du matin.djvu/88

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IV

Pars !… Tu n’es jamais venue :
J’entends, contre le volet,
Frémir une aile inconnue.
Il faut déjà t’envoler…

Mais fais que ta plainte — dure
Fausse et rauque — en me quittant,
Au ciel retentisse et dure,
Tout l’hiver, jusqu’au printemps !


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