Aller au contenu

Page:Carey - Principes de la science sociale, Tome 2.djvu/513

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vient le désir dans toutes les communautés d’établir une balance favorable de négoce. Inconséquences des opposants à cette idée. 467

§ 
9. — Opinion du docteur Smith : qu’il n’est point d’utilité dont on puisse mieux se passer que celle qui, selon d’autres économistes, est l’instrument indispensable de société. 
 470
§ 
10. — Condition pauvre des pays qui suivent la voie de Hume et de Smith. 
 473
§ 
11. — Doctrines de l’école Ricardo-Malthusienne en matière de monnaie. 
 476
§ 
12. — M. J. S. Mill. Ses vues sur l’inefficacité de la monnaie. 
 478
§ 
13. — Les. économistes anglais n’ont point su apprécier les services des métaux précieux. 
 480
§ 
14. — M. Bastiat. Ses vues correspondent à celles de Hume et de Smith. 
 482
§ 
15. — Ses inconséquences avec lui-même. 
 483
§ 
16. — En admettant ses doctrines comme vraies, il ne pourrait exister harmonie des intérêts internationaux. 
 485
§ 
17. — Plus se perfectionne la diversité d’emplois dans chacune des sociétés, et plus est parfaite l’harmonie de tous les intérêts au dedans et au dehors. 
 487
§ 
18. — M. Chevalier. Il tient que la monnaie est indispensable à l’homme et pourtant il estime à désavantage l’augmentation de la quantité. 
 489
§ 
19. — Les métaux précieux sont le grand instrument, fourni par le Créateur, pour la production du mouvement sociétaire. Plus ce mouvement s’accélérera et plus s’accroîtra partout le pouvoir de l’individu d’obtenir les moyens de [subsistance, et celui de la communauté de commander les services de ces métaux. 
 490


FIN DE LA TABLE DU TOME DEUXIÈME.