Aller au contenu

Page:Carmontelle - Les Femmes, tome II.djvu/154

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
148
LES FEMMES

dame de Ricion ; nulle femme ne me fera jamais retrouver ce bonheur si pur que je goûtais avec elle, et qui aurait toujours suffi à mon cœur !

— Vous le croyez ?

— Et tout me le prouve ! »