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Page:Carmontelle - Les Femmes, tome III.djvu/154

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LES FEMMES.

— Ses femmes entrèrent pour l’habiller, et je m’en allai.

— Elle ne vous dit plus que sa porte serait fermée ?

— Tout au contraire. Cependant, elle ne voulut me voir le lendemain que le soir, dans une autre maison.

— Où cela ?

— Chez madame d’Oricante qui est sa cousine, et qui m’avait prié à souper pour ce jour-là.