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N’est pas mal.
Que pour troubler mon ame ?
J’en suis très-content ! Vous voyez bien qu’à force de chercher on trouve.
Que pour troubler mon âme ?
Le voilà, il faut l’écrire.
M. PASTOUREAU.
Mais c’est écrit, voilà comme il étoit fait.
M. DELOUREVILLE.
Oui ? (Il lit.) Ah ! c’est vrai. Cela ne fait rien. Je suis très-content, à présent, de ce Monologue.
M. PASTOUREAU.
Monsieur, j’espère que par la suite, aidé de vos lumieres…
M. DELOUREVILLE.
Vous y pouvez compter, je me ferai un plaisir de vous dire naturellement ce que je pense.
M. PASTOUREAU.
Je vous en serai très-obligé.
M. DELOUREVILLE.
Il n’y a que ce moyen-là de former les