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Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 3.djvu/316

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M. DEVILLERVAL.

Et quand ?

M. DEBONNIERE.

Aujourd’hui.

M. DEVILLERVAL.

Il faut qu’il soit fou, absolument. Il faudroit qu’il m’eût parlé pour cela, & je te le répéterai cent fois, si tu le veux, il m’a tourné le dos, dès qu’il m’a vu.

M. DEBONNIERE.

Je m’en vais lui dire que tu ne comprends rien à tout cela.

M. DEVILLERVAL.

Dis-lui qu’il chassera chez moi tant qu’il voudra, qu’il ne sauroit me faire un plus grand plaisir.

M. DEBONNIERE.

Il vaut mieux que tu le lui dises, toi-même, il ne me croiroit pas. Je vais te l’amener. (Il va à M. Dugrépont.)

M. DEVILLERVAL.

J’y consens.