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Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 3.djvu/318

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M. DUGRÉPONT.

Je crois que cela n’étoit pas difficile.

M. DEVILLERVAL.

Mais, quand je t’ai trouvé ici, m’as tu parlé seulement, ne t’es-tu pas en allé comme un fou ?

M. DUGRÉPONT.

Je conviens que tu ne m’as pas entendu.

M. DEVILLERVAL.

Il me feroit tourner la tête ! mais dis donc si tu m’as demandé d’aller chasser à Villerval.

M. DUGRÉPONT.

Demandé ?… non.

M. DEVILLERVAL.

Pourquoi dis-tu que je t’ai refusé ?

M. DUGRÉPONT.

Parce que… Parce que je suis sûr que si je t’en avois parlé, tu ne l’aurois pas voulu ; voilà tout. (Il s’en va.)

M. DEBONNIERE.

On ne le tirera jamais de-là. Allons nous promener. (Ils s’en vont.)


Fin du quarante-sixième Proverbe.