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Mad. DEVILLEMARE.
Je vous en aurai la plus grande obligation.
M. DEGRANTIER.
Ne vous inquiétez pas.
Mad. DEVILLEMARE.
C’est charmant à vous. Je m’en vais, en ce cas-là.
M. DEGRANTIER.
Pourquoi ne dînez-vous pas ici ?
Mad. DEVILLEMARE.
Est-ce que je dîne ?
M. DEGRANTIER.
Vous avez tort.
Mad. DEVILLEMARE.
Oui, avec mon estomach. Ah ! ça ! adieu, mon frere. Embrassez-moi donc. (Elle l’embrasse.) Quand est-ce que je vous verrai ?
M. DEGRANTIER.
Ce soir ou demain. (Il la reconduit.) Monsieur Demérin, entrez un peu ici.