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feras tout ce que tu voudras, je te seconderai autant qu’il me sera possible.
Le COMTE.
Je te devrai le bonheur de ma vie.
Le BARON.
Entre dans ce Cabinet : aussi bien j’entends quelqu’un, & c’est, peut-être, elle. (Le Comte entre dans le Cabinet.)
Scène III.
La MARQUISE, Le BARON.
La MARQUISE.
Baron, je vous suis obligé d’avoir bien voulu m’attendre ; j’achevois une lettre, & je crois que vous auriez été fâché que je me dérangeasse ; je compte assez sur votre amitié, pour cela.
Le BARON.
Je suis plus sensible à cette confiance, qu’à toutes les protestations qu’on peut faire. Quelque plaisir que j’aie à vous faire ma cour,