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M. FEBRUGIN.
En conséquence de ce principe ipe, il faut mêler er, d’une maniere particuliere ere, l’aliment avec la salive ive.
L’ABBESSE.
Fort bien.
M. FEBRUGIN.
Et comment le feroit-on mieux qu’en suçant ant la substance des os os ?
L’ABBESSE.
Cela est vrai.
LA MERE Ste. HELENE.
Je n’avois jamais pensé à tout cela.
LA MERE St. BASILE.
Ni moi non plus ; parce que…
LA MERE Ste. HELENE.
Eh bien, qu’en dites-vous, Pere ?
LE PERE SATURNIN.
Fort bien. Mais je l’attends, lorsqu’il reste quelque chose autour des os.
M. FEBRUGIN.
Ah ! m’y voici ci. Après avoir sucé un peu de temps emps, l’estomac s’est accoutumé mé à cette substance ance jointe à la moële des os os.
L’ABBESSE.
Sûrement.