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M. DE VALBON.
N’en doutez pas.
HENRIETTE.
Que je suis fâchée que mon pere ne soit pas ici, & qu’il ne vous entende pas !
M. DE VALBON.
Pourquoi donc ?
HENRIETTE.
Je n’aurois plus rien à craindre.
M. DE VALBON.
Comment, qui peut vous affliger ?
HENRIETTE.
Mon pere croit que vous vous opposerez à mon bonheur.
M. DE VALBON.
Votre pere croit cela ? c’est très-mal fait à lui, & je n’entends point…
HENRIETTE.
Monsieur, il va venir, dites-le lui donc vous-même, & assurez-le bien…
M. DE VALBON.
Mais qu’est-ce que cela veut dire ? il ne compte pas davantage sur moi, oh, je vais lui parler. Apparemment qu’il a d’autres desseins que les