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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/113

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M. de Péranval.

Vous lirez cela une autre fois. Il veut lui ôter son Livre.

Mde de Péranval lisant.

Je ne peux pas remettre, en vérité !

M. de Péranval.

Je quitte un souper charmant, pour venir vous trouver, une musique excellente, & c’est là comme vous me recevez ?

Mde de Péranval lisant.

Mais, je ne vous reçois point mal.

M. de Péranval.

Oui, en lisant ; c’est être fort occupée de moi. Allons, allons. Il s’approche.

Mde de Péranval lisant.

Je vous dis que j’aurai bientôt fini.

M. de Péranval.

Il n’y a qu’à cesser, c’est le moyen de finir promptement.

Mde de Péranval lisant.

Cela m’est impossible.

M. de Péranval.

Impossible ?