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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/140

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Le Baron.

Ah, ne parlez pas de cela ; réellement, cela déchire le cœur de voir souffrir aussi patiemment.

La Baronne.

Cela est inconcevable ! pour moi je n’en puis plus.

Le Baron.

Il est effrayant pour l’humanité, quand on y pense, de voir qu’il y a des milliers d’hommes aussi malheureux que cela.

La Baronne.

Cela est vrai. Ah, Monsieur, il faut aider ces gens-ci.

Le Baron.

Oh, pour cela de tout mon cœur.

La Baronne.

Il me vient une idée.

Le Baron.

Eh bien, voyons dites ce que c’est.

La Baronne.

Rien n’est plus facile.

Le Baron.

Il faut l’exécuter.