Aller au contenu

Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/153

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Perette.

Oui, ma Mère, ah ! pour cela je le devons bien.

Le Baron.

Eh non, non. Écoutez-donc, bonne femme ?

La Mère Gobin.

Oui, oui, Monsieur : nous voilà riches à tout jamais, que je vous ons d’obligation ! La belle vache ! C’est une fortune ! Ah, Mon Dieu, le beau bien ! le beau bien !

Le Baron, à la Baronne.

Je crains en vérité que la tête ne leur tourne de joie.

Perette.

Ah, Mère, voilà Robert.