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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/297

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M. Le Cocq.

Ma chère enfant, vous n’avez pas de confiance en moi. Il lui prend la main.

Delrode, à part.

Il lui prend la main.

Agathe.

Eh bien vous l’avez ma main.

M. Le Cocq.

Oui, oui. Vous dites souvent que vous m’aimez.

Agathe.

Il est vrai.

Delrode, à part.

Elle en convient !

M. Le Cocq.

Et vous avez des secrets pour moi. Ah, ma chère enfant, parlez, parlez donc ? Il l’embrasse.

Delrode.

Je suis perdu. Il fuit.

Agathe, appercevant Delrode.

Ah le voilà ! quoi, il me fuit toujours !

M. Le Cocq.

Comment ! qui donc ?