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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/329

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M. Houblon.

Eh bien ; c’est bon.

Jean Alegrain.

Oui, c’est bon ; mais cela n’est peut-être pas bon.

M. Houblon.

Pourquoi ?

Jean Alegrain.

Ah ! voilà le hic ; c’est que je voudrois bien que Monsieur Delrode en fût le Parrain.

Delrode.

Je ne le peux pas, Jean Alegrain, & j’en suis très-fâché.

Jean Alegrain.

Voilà ce que j’avois deviné, & je l’avois dit à la Commère Adam.

M. Houblon.

Comment, qu’aviez-vous dit ?

Jean Alegrain.

Que Monsieur Delrode ne voudroit pas tenir une Fille.

Delrode.

Non, ce n’est pas cela.