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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/259

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Genevieve piquée.

Non, non, Monsieur Honorin, puisqu’il ne s’en soucie pas, il ne faut pas le presser davantage.

M. Martin.

Ah ! je sais bien ce qui te fait dire cela à toi.

Clément.

Eh bien, Monsieur, j’y consens, mais vous en serez peut-être fâché ?

M. Martin.

Fâché ? je vous réponds que non.

Clément.

Si vous allez vous dédire ?

M. Martin, frappant dans la main de Clément.

Je vous donne deux mille francs, si je me dédis.

Clément.

Oh ! c’est bon pour le propos.

M. Martin.

Vous verrez ; tenez, voilà les deux Silvains, je vais les renvoyer.

Mde Martin.

Mais si vous êtes engagé avec eux ?