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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/263

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Genevieve.

Il faudra s’en consoler.

Claude Silvain.

Et ce fil que nous avons dévidé ensemble.

Pierre Silvain.

Allons, Claude Silvain, puisqu’on se moque de nous, sortons d’ici.

Claude Silvain.

Oui, on se moque de nous, je le vois bien, mon Père, je vois aussi que c’est Clément qui mangera les deux pâtés ; mais quand nous en ferons faire pour nous, il n’en aura pas, je le promets bien. Fi le vilain gourmand.

Pierre Silvain.

Passe donc. Nous trouverons toujours bien une Femme pour toi. Adieu, adieu.