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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/369

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Mlle de Sauvoir.

Non ; mais je vois que vous pourriez nous seconder, Monsieur d’Amabert & moi ; il va venir ici dans le moment avec Monsieur de Garanci, qui est ami de mon Père.

Mde de Roiseville.

Eh ! que pourrai-je faire ?

Mlle de Sauvoir.

Je n’en sais rien, mais ayez la bonté de les voir.

Mde de Roiseville.

Je 1se demande pas mieux, ma chère Niéce ; je voudrais que vous fussiez heureuse.

Mlle de Sauvoir.

Et je ne puis l’être, si je n’épouse pas Monsieur d’Amabert. J’entends quelqu’un ; ah, sans doute, c’est lui.