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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/392

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M. de Sauvoir.

Vous avez tué Milord Ridling ?

M. de Prétendsiere.

Oui, Monsieur ; sauvez-moi, je vous prie.

M. d’Amabert.

Moi, je suis tué ?

M. de Prétendsiere.

Que vois-je ? Quoi, Monsieur, je ne vous ai pas donné deux coups d’épée ?

M. d’Amabert.

Non, je ne sente pas.

M. de Prétendsiere.

Et vous n’êtes pas tombé à terre ?

M. d’Amabert.

Non, je dis ; je suis toujours resté de même que vous il voit sur le moment.

M. de Prétendsiere.

Je ne comprends pas…