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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/58

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M. de Ponbleu.

J’en suis enchanté ! quelle grace ! quel sourire charmant !

Julie.

Je suis étonnée comme vous de sa ressemblance avec Monsieur le Chevalier.

Lahaye.

Cela n’est pas étonnant, ils sont jumeaux.

Julie.

Que ne le disiez-vous donc. À Monsieur de Ponbleu. Allez-vous-en, car vous les gênez ; quand vous reviendrez, vous trouverez les choses bien avancées.