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Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/11

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DÉDICACE.


L’EDITEUR A L’AUTEUR.



Je ne puis mieux dédier qu’à vous même Caroline, l’histoire dont vous êtes la brillante héroïne et que votre main savante a tracée avec une plume trempée dans le foutre brûlant ; le public qui ne connaît encore que vos charmes, va donc être instruit de tous vos hauts faits ! Semblable à César qui sut conquérir le monde et écrire ses triomphes, vous avez su conquérir nos cœurs et nos vits et peindre leurs dé-