Aller au contenu

Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/139

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 125 )


intentions que lorsque je sens intérieurement l’action de son Priape. L’ayant très-étroit et la route n’étant pas encore bien frayée, je ressentis encore beaucoup de douleur, parce que de Varennes l’avait gros ; d’un autre côté, le mal que me faisait mes fesses me tourmentait au point que, dans la crainte de m’appuyer sur le lit, pour ne pas l’augmenter, je tenais mon derrière suspendu ; les endroits où il m’avait mordu semblaient contenir des pointes aigües, dont la pression subite et répétée augmentait et variait le mouvement de ma croupe. De Varennes ne bougeait pas, il se reposait sur mon activité pour jouir, et si mes douleurs, plus paisibles, arrêtaient leurs effets, il avait la précaution de toucher un peu rudement la partie qu’il avait mordue, alors ma croupe se relevait