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Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/28

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vous eussiez pu remplir la place vide qu’il laissait dans mon cœur. D’après cette aventure, n’oubliez jamais, si vous voulez avoir quelques femmes, que quand même vous la verriez dans les bras d’un autre ; si elle vous le nie, vous devez l’en croire sans réplique, parce que vous devez plutôt croire votre maîtresse que vous-même. Adieu, petit sot ; faites imprimer. Comme mon mari ne lit jamais que le Cours des Changes, cela m’est égal ; au contraire, cela m’amusera beaucoup, parce qu’on se foutera de vous, de ce que vous ne m’avez pas foutu.