Page:Catalogue général de la librairie française, 1867, tome 1.djvu/18

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l'impossibilité absolue de connaître leurs adresses. Beaucoup de personnes aussi ne jugent pas nécessaire de me retourner l'épreuve, quoique je supporte, bien entendu, tous les frais de port.

Tous ces efforts, malheureusement, n’empêcheront pas mon Catalogue de présenter de nombreuses lacunes et inexactitudes, et j’aurai grandement besoin de l’indulgence de mes confrères et du public spécial auquel s’adresse mon œuvre. Je suis d’autant plus sûr qu’on ne me la refusera pas, que ceux qui pourraient me critiquer le plus sévèrement se sont généralement occupés eux-mêmes de travaux bibliographiques, et en connaissent le mieux les difficultés.

Paris, le 1er mai 1867.

O. LORENZ.