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Page:Cazotte - Le Diable amoureux.djvu/143

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IV


Nous gardâmes quelque temps le silence ; enfin un des amis de Soberano le rompt. « Je ne vous demande point votre secret, Alvare ; mais il faut que vous ayez fait des conventions singulières ; jamais personne ne fut servi comme vous l’êtes ; et depuis quarante ans que je travaille, je n’ai pas obtenu le quart des complai-