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Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 2.djvu/115

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— Sapristi ! quelle gaillarde ! Pas plus tôt arrivée, que la voilà qui s’attaque à la grosse cavalerie !

— Comment, Baptiste, vous désirez que je vous rassure sur la réorganisation de l’armée ?

— Oui. Je voudrais que madame la comtesse m’examine pour voir si je n’aurais pas quelque cas d’exemption physique.

— Monsieur, ce n’est pas de ma faute ; parait qu’on a besoin de soldats.

— Deux garçons à la fois ?

— Dam ! aujourd’hui faut faire la part du fusil à aiguille.