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Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 2.djvu/159

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Voulant marcher en avant en s’appuyant sur le traité de 1772.

La Prusse. — Mon amie, je ne puis plus vous caler ; l’opinion publique est trop contre moi !

La Russie. — Ah ! sapristi ! je suis perdue !… On va s’apercevoir que je ne suis pas solide sur mes jambes !

LA SITUATION.

— Mon brave Moscovite, vous le voyez, vous avez tout intérêt à ne pas me faire reculer !

DERNIÈRE DÉPÊCHE RUSSE.
« Nous avons le dessus ; le Polonais est terrassé ! »