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LE CHEMIN DE FER DU SIMPLON.
— Vous voilà arrivé à la station ; vous n’avez qu’à suivre le facteur qui porte votre malle là-bas. |
— Sapristi ! avec quoi graissez-vous donc les roues ? — Avec du fromage. |
— Remontez en voiture ! — Ah ! mon Dieu, voyez donc ! — Madame, il ne fallait pas laisser votre portière ouverte. |
— Mais qu’est-ce que le train attend pour partir ? — Madame, nous attendons une avalanche ! |