Se rappelant la bataille d’Isly, l’empereur du Maroc juge prudent, avant de partir pour la guerre, de déposer son parasol au bureau des cannes et des parapluies.
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— Vois-tu, mon brave bédouin, on a beau avoir été en Crimée et en Italie,
On en revient toujours
À ses premières amours.
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