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Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 6.djvu/127

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— Tu cherches à me souffler mon milord anglais ?

— Je l’ai pris à deux heures, il en est trois ; une heure de milord, c’est trente-cinq sous ! les voici, tu n’as plus rien à dire !

— C’est par mesure d’économie que tu me fais payer tout ce sucre de pomme ?

— Oui, mon chéri, on parle d’augmenter encore l’impôt sur le sucre !

— Ce sont les fruits de ta soirée ?

— Oui, ma chère ; et tout me fait espérer qu’ils ont des noyaux !

— Madame, mouchez-moi ; ma bonne n’est pas là !