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Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 6.djvu/357

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— Tiens ! les Chinois qui mangent les chiens !

— Merci, je ne veux plus appeler mon sac Azor… ils seraient dans le cas de me l’avaler.

— Mais, sargent, il n’y a donc pas d’autres théâtres que les ombres chinoises dans ce pays-ci ?

— Certainement, imbécile ! du moment que c’est le céleste empire, il ne peut y avoir qu’un théâtre Séraphin !

— J’en suis fâché… mais fallait pas inventer le macadam ! J’ai pas envie de me crotter dans les rues de Péking !

— Vous m’avez promené toute la journée dans Péking, je vais vous payer. Voici trois sous ! c’est ce que je payais dans les omnibus de Paris.