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Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 7.djvu/297

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— Je crains que tu ne te rouilles pendant tes vacances ; tu devrais t’exercer à voter deux ou trois heures dans la journée.

EN VACANCES.

— Ah ! mon ami, que tu es devenu bavard ! tu ne cesses de parier depuis ton retour à Paris.

— Que veux-tu, ma chère, quand on est resté comme moi huit mois à la Chambre sans dire un mot !

— Je te l’avais bien dit, la course est trop longue ! Voilà le compteur qui éclate !

— Ciel ! l’aiguille de mon compteur qui n’y est plus !

— Tiens ! ça servait à quelque chose ? Je l’ai prise pour épingler mon châle.