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Page:Chapais - Jean Talon, intendant de la Nouvelle-France (1665-1672), 1904.djvu/533

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L’œuvre du progrès intérieur. — La construction des navires. — Les chantiers de la rivière Saint-Charles. — Le commerce avec les Antilles, — Industries diverses. — Le chanvre, la toile, les étoffes, les cuirs. — La brasserie et la fabrication de la bière. — La potasse. — Le goudron. — Une lettre de Colbert. — Les mines de cuivre et de fer. — Relations commerciales avec Boston. — Quelques critiques à l’adresse de Talon, relativement au commerce. — Sa défense. — Le mouvement de la population, de 1669 à 1672. — Les mariages. — Les filles venues de France. — Les expéditions d’animaux domestiques. — Talon et les communautés religieuses. — La jeunesse canadienne et l’éducation. — Abondance de travail. — Progrès de l’agriculture et de la colonisation. — Situation prospère de la colonie 
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Courcelle et Talon obtiennent leur rappel. — Frontenac est nommé gouverneur. — Ses antécédents. — Ses qualités et ses défauts. — Son arrivée et ses débuts. — Les États généraux de Québec. — Un mot de Colbert. — Talon et Frontenac. — Un incident à propos des droits sur les pelleteries. — Frontenac estime que Talon avait trop de pouvoirs. — Deux arrêts du Conseil d’État. — Talon crée une foule de seigneuries. — L’institution seigneuriale. — Son utilité. — Son organisation et son fonctionnement. — L’œuvre de Talon. — Critique mal fondée. — Changement d’orientation dans le règne de Louis XIV — La guerre de Hollande. — Le Canada est négligé. — Fin d’une époque. — Talon devient baron des Islets. — La reconnaissance d’un roi et la reconnaissance d’un peuple. — Départ de Talon. — Regrets universels 
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