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Page:Charles-Louis Philippe - Bubu de Montparnasse, 1901.djvu/128

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que pour la peine quelle se sont donné a toi tu les pourris. Peut-être ses filles se sont-elles tué car moi si je n’avais pas songé à ma famille et j’ai penssé que mon père avait bien assez souffert avec la mort de ma mère sans apprendre ma mort suivante. Puis je ne croyait pas qu’un jour je rencontrerai mon bourreau boulevard Sébastopol le 15 juillet. Que j’ai pleurer depuis ce jour pourtant il est trop tard il faut bien que je m’y résigne aussi je te cause comme cela parce que je suis sûr que c’est toi qu’il me l’a donné et qui aura fait mon malheur pour la vie. Puis des jours de souffransse vont sécoulés encore pour moi et encore pour d’autre qui souffriront que je les plains ses gens doivent souffrir à cause de toi car moi les gens qui savent que tu m’as causer ce mal t’en veulent plus que moi encore mais je n’écoute le conseil de personne et c’est pourquoi je souffre en silence. Tu dois savoir que je ne suis pas une salle fille car si je voulait je pourrai aussi moi a mon tour pourrir d’autres hommes mais je préfère me faire soigner puis quand je serai guéri je verrai ce que j’ai à faire mais je ne te pardonnerai jamais. Tu ne le mérite pas un homme qui ma fait tant de mal que je ne méritai pas