Aller au contenu

Page:Charles Virmaître - Les Flagellants et les flagellés de Paris.djvu/103

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Les Flagellants
et
les Flagellés de Paris

PREMIÈRE PARTIE

— Chacun prend son plaisir où il le trouve. — La loi des contrastes. — La femme aux crabes. — La baronne d’Ange. — Le prince de Bismarck. — Étrange aventure. — La femme à la tête de mort.




CHAPITRE I
Chacun prend son plaisir où il le trouve


Au XVIIIe siècle, l’abbé Galiani écrivait : « Paris est le café de l’Europe. »

Au XXe siècle, les vieux messieurs qui n’ont plus de dents pour savourer les fruits verts et même les fruits mûrs, disent que Paris est le dépotoir du monde entier.

Paris est les deux à la fois, mais cela ne date pas d’hier, car, au XVIe siècle, le bon roi Henri IV qui, pourtant, n’était guère à cheval sur la vertu, écrivait au Prévost de Paris, Jacques Sanguin, pour