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Page:Chivot et Duru, Les Braconniers.djvu/56

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–––––––––Au vieil amoureux !
–––––––––V’li, v’lan ! ça soulage !
–––––––––Et pendant qu’il rage…
–––––––––Je rase, je rase,
––––––––––––––––––Etc.
II
–––––––––Est-ce un jeune sire
–––––––––Beau comme l’amour ?
–––––––––C’est moi qui soupire
–––––––––Et tremble à mon tour !
–––––––––Jalouse qu’il n’aille
–––––––––Près de sa Chloris,
–––––––––Je fais une entaille
–––––––––Au jeune Adonis !
–––––––––V’li ! v’lan ! ça soulage !
–––––––––Et pendant qu’il rage…
–––––––––Je rase, je rase,
––––––––––––––––––Etc.
CHŒUR.
–––––––––La barbière rase,
–––––––––Et tout en rasant
––––Elle jase, jase, jase, jase,
–––––––––Elle jase gaiement !

Scène III

Les Mêmes, BIBÈS.
GINETTA, appelant.

Le premier de ces messieurs ?

BIBÈS, entrant du fond en vieux porteur de balle.

C’est moi… voilà…