Scène IV
Où est le perruquier ? (Éternuant.) Ah ! que je suis enrhumé ! Le drôle ! le faquin ! le polisson !… faire ainsi trimer un homme de mon rang !… si jamais il me tombe sous la main je l’anéantis, je le concasse, je le pulvérise !
Qu’avez-vous, monseigneur ?
Ça ne vous regarde pas !… (Appelant.) Eléonore !… M. le vicomte !… Où est-il encore passé, cet animal-là ?
Me voici, papa…
D’où venez-vous ?… vous ne pouvez donc pas rester avec moi ?
Mais papa, c’est vous qui venez de m’envoyer au château pour voir s’il n’était pas arrivé des lettres de Paris…
C’est vrai… oui, j’attends une communication très-importante, sur l’issue de mon procès… Je suis tranquille, mais n’importe !… (A Eléonore.) Eh bien ?
Pas de lettres…
C’est contrariant… ce sera pour ce soir, alors ?