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Page:Coignet - Les Cahiers du capitaine Coignet, 1883.djvu/183

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LES CAHIERS

s’arrêtait partout où il voyait un soldat lui présenter les armes, et il lui parlait. Il fut content de la tenue, et nous fît défiler. Nous trouvâmes des tonneaux de bon vin à la caserne, et la distribution se fit à chacun son litre. Les pétitions furent presque toutes accordées ; le contentement était général.