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Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/302

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Julia, femme de chambre de la célèbre cantatrice Clarina Tinti, en 1820, à Venise (Massimilla Doni).

Julien, l’un des « surveillants » de la Conciergerie, en 1830, au moment de l’instruction criminelle Herrera-Rubempré (La Dernière Incarnation de Vautrin).

Julien fut, en 1818-1819, valet de chambre chez Antoinette de Langeais (Histoire des Treize : la Duchesse de Langeais).

Julien, probablement Champenois, était, en 1839, et jeune alors, dans l’arrondissement d’Arcis-sur-Aube et dans la ville d’Arcis, au service du sous-préfet, Antonin Goulard. — Il connut par Anicette et révéla aux familles Beauvisage et Mollot les intrigues légitimistes du château de Cinq-Cygne, où résidaient Georges de Maufrigneuse, Daniel d’Arthez, mesdames Laurence de Cinq-Cygne, Diane de Cadignan, Berthe de Maufrigneuse (Le Député d’Arcis).

Juliette, vieille cuisinière de Justin et d’Olympe Michaud, en 1823, dans la Bourgogne (Les Paysans).

Julliard était, à Paris, vers 1806, le chef de la « maison Julliard ». — Il vendait, rue Saint-Denis, au Ver chinois, de la soie en bottes ; y employait Sylvie Rogron, comme « seconde ». Vingt ans plus tard, il devait la retrouver dans leur pays natal, Provins, où il se retira, dès 1815, marié, père d’une famille groupée autour des Guépin et des Guénée et formant ainsi trois grandes races (Pierrette).

Julliard, fils aîné du précédent, épousa la fille unique d’un riche fermier et s’éprit, à Provins, mais platoniquement, de Mélanie Tiphaine, la plus belle femme de la colonie officielle pendant la Restauration. Julliard fit du commerce et de la littérature : il eut l’entreprise d’une diligence et un journal baptisé la Ruche, où il encensa madame Tiphaine (Pierrette).

Jussieu (Julien), jeune réquisitionnaire de la grande levée de